Ne pas créer de compte Microsoft. Les données concernant Skype, Teams, le Cloud de Microsoft Azure, les boites mails sont analysées et exportées en Irlande, qui, par la suite , sont probablement transmises aux autorités américaines.
On ajoute une puce émulée TPM version 2. Vous pouvez utiliser un périphérique réel "passthrough", mais à vos risques et périls concernant votre confidentialité et la sécurité de votre ordinateur.
On ajoute un matériel virtuel pour générer des vrais nombres aléatoires, et ceci étant dû à une collaboration entre Intel, le NIST et la NSA
Choisissez bien /dev/urandom.
On sélectionne un pilote para-virtualisé au lieu du pilote émulé e1000. En effet, l'émulation peut créer des problèmes de sécurité sur la machine hôte en créant des fuites mémoires, catastrophiques, car via ue machine virtuelle, on peut injecter du code sur la machine hôte.
On choisit manuellement la topologie des processeurs virtuels, windows semble avoir un problème avec la reconnaissance de la topologie sous virt-manager.
on sélectionne le disque dur virtuel que l'on a crée précédemment. Au cas où vous avez oublié de créer manuellement un disque dur virtuel, choisir "Créer une image disque pour la machine virtuelle", et n'oubliez pas de sélectionner au moins 64 GiB comme quantité de disque dur.
On choisit 4096 MiB comme mémoire, c'est la valeur minimale requise pour windows 11.
Le sélection du nombre de processeurs sera modifié par la suite, car il semble que Windows ne sait pas compter le processeurs correctement.
On constate que Windows 11 est en réalité un Windows 10 à la sauce de MacOS. En effet, Microsoft perd énormément de clients en faveur de MacOS et d'android.